vendredi 9 mai 2014

le café n'est pas ma tasse de thé et autres âneries pleines d'esprit

                                         

Les mots ont inventé la poésie car elles avaient besoin de se soigner


Il n’y a de nous jours qu’un territoire encore vierge : le cœur des enfants.


Depuis toujours les écrivains ont utilisé la littérature pour régler des comptes avec la société, avec le pouvoir, avec leurs ennemies, avec leur famille… et avec eux-mêmes. Mais dans la littérature contemporaine française le règlement de comptes avec eux-mêmes semble être devenu le seul but et encore la seule source d’inspiration des auteurs. C’est une des raisons du mépris de la « haute » littérature pour la littérature pour la jeunesse. Dans ce dernier domaine, même s’il existe des exemples d’asservissement du lecteur aux besoins intimes des auteurs, cela semble toujours un peu scandaleux…


Ce ne sont pas les coups de pied qui nous font changer de direction, ce sont les coups d’épaule. Les coups de pied ne nous font que sauter sur place. Ça peut déranger sans pour autant avoir une bonne influence.

Le plus grand secret du monde des poupées vient d'être dévoilé par un savant viennois: en vieux allemand, Barbie signifie "Femme à barbe"




(rememeber Conchita Wurtz) 

Il n’y a que les vivants qui meurent. La vie est donc une maladie : la maladie qui nous tue.



Vu que le chemin de l'Enfer est pavé de bonnes intentions, 
celui du Paradis en est forcément truffé de mauvaises.





Pour disperser la manif des clowns en colère, la gendarmerie a fait usage de gag lacrymogène.





Un bouc émissaire porte toujours le chapeau.

Dans la tempête, le temps pète






Le sacré c’est bon quand c’est sucré.

Le bonheur c'est un pays dans lequel il fait toujours beau, même sous la pluie noire, même dans le brouillard épais, même dans la tempête.






La joie est faible. C'est pourquoi elle nous attire si fortement

Soixante-huitard : homme entre 65 et 70 ans. Que chausse du 68 (rare)






Le repos est quelque chose que l’on t’impose, ou que l’on s’impose soi-même car on ne peut pas faire autrement. Par contre, la paresse c’est quelque chose que l’on subit. La paresse c’est du repos non mérité.







J’ai un cancer dans le sommeil. Je peux dormir chaque fois un peu moins. Plus le trou dans mon sommeil s’élargi, moins je dors. Un jour je ne dormirai plus du tout et ce sera la fin.



Or ce qui me tuera vraiment ce n’est pas le manque de sommeil, mais le manque de rêve. Sans celui-là, je ne résisterai pas longtemps. Je pourrai toujours rêver éveillé, mais ce n’est pas pareil. C’est le rêve sans bride sans aucun contrôle qui nous permet de vivre.




Cuba, terre des débrouilles

  Une fois n'est pas coutume. Habituellement je parle de littérature jeunesse. C'est la spécialité que je cultive en tant qu'aut...